Menu

Critiques de films

Critique de film

Peur de la peur de Rainer Werner Fassbinder

Par Leo Soesanto -

Le complément idéal à Martha et Effi Briest a déjà le mérite d'avoir un très beau titre. C'est aussi un très beau téléfilm, pas immédiatement séduisant (le papier peint marronnasse, les mêmes plans d'intérieur allemand qui reviennent) mais aussi important…

Critique de film

L'Année des treize lunes de Rainer Werner Fassbinder

Par Leo Soesanto -

Francfort, 1978. Cinq jours dans la vie d'Elvira, transsexuel qui est amené à faire un bilan sur sa vie et à retrouver ceux et celles qu'il a aimés. "[…] Et Elvira lui oppose cette idée qu'elle a trouvé dans le roman Welt am Draht et qui, pour le moment,…

Critique de film

Les Dieux de la peste de Rainer Werner Fassbinder

Par Leo Soesanto -

Libéré de prison, Franz retrouve sa très possessive petite amie. Il projette bientôt l'attaque d'un supermarché. Fassbinder déclara un jour qu'au lieu de poser des bombes comme la bande à Baader, il préférait faire des films. Au moment où nous écrivons…

Critique de film

Pourquoi monsieur R. est-il atteint de folie meurtrière?…

Par Leo Soesanto -

Le film peut être vu comme un protoype du Marchand des Quatre Saisons. On suit le train-train quotidien d'un dessinateur industriel dont la vie rangée se lézarde. Jusqu'à la violence. Coréalisé avec Michael Fengler, le film sera renié par Fassbinder.…

Critique de film

Le Marchand des quatre saisons de Rainer Werner Fassbinder

Par Leo Soesanto -

Dans les années 50, Hans, fraîchement revenu de la Légion Etrangère, monte un commerce de fruits et légumes. Rejeté par sa famille, incompris, Hans est d'humeur de plus en plus sombre. "Mais ils ne sont pas heureux. Ce qui leur manque, c'est l'amour."…

Critique de film

Martha de Rainer Werner Fassbinder

Par Leo Soesanto -

Frigide, trentenaire et célibataire, Martha voit mourir sous ses yeux son père, pour qui elle avait une affection maladive. Helmut, un séduisant ingénieur, la conquiert bientôt pour son plus grand malheur. "La plupart des hommes ne sont tout simplement…